Organization

Instrument

Violinist

Julien Chauvin

Violin

Violist

Amihai Grosz

Viola

Chanteur

Soprano

Julia Lezhneva

Mezzo-soprano

Eva Zaïcik

Mezzosoprano

Ténor

Mauro Peter

Direction d'orchestre

Théâtre des Champs-Elysées

Others

Chœur de Chambre de Namur

Le Concert de la Loge

Céleste Productions

Direction de choeur

Thibaut Lenaerts

Basse

Nahuel Di Pierro

Requiem

Paris

France

Requiem: Requiem, K.626 Mozart (+1 More)

Public

Sinfonia concertante en mi bémol majeur pour violon et alto, K. 364

Valide

Wolfgang Amadeus Mozart (1756–1791)
Sinfonia concertante für Violine, Viola und Orchester Es-Dur KV 364

Mozart: Sinfonia concertante ∙ Noah Bendix-Balgley ∙ Amihai Grosz ∙ Bergmann ∙ argovia philharmonic

No work has ever left such a profoundly unsettling legacy, magnified by almost three centuries of legend. The circumstances surrounding the composition of the Requiem are shrouded in fanciful mystery. In July 1791, an exhausted Mozart, worn down by work and by mental and financial worries, was putting the finishing touches to The Magic Flute when he received a visit from a secret messenger. We now know that this was the steward of Count Walsegg, a widowed music lover who wanted to commission a Requiem Mass in memory of his wife. We also know that work on the piece was cut short when the musician died in autumn 1791. His wife Constance initially entrusted the score to Eybler, who was also unable to complete it, and then to Süssmayer, the student to whom Mozart had given a number of notes for his Requiem. Recent scholarship has tried to disentangle Mozart’s contributions from those of his student in order to produce an edition which is as close as possible to the musician’s intentions.

English

Jamais sans doute une œuvre n’a laissé derrière elle un trouble aussi profond, grandi par près de trois siècles de légendes. Les circonstances de la composition du Requiem ne manquent pas de mystères romanesques : en juillet 1791, Mozart, épuisé par le travail et les inquiétudes tant morales que financières, met la dernière main à La Flûte enchantée lorsqu’il reçoit la visite d’un messager secret. On sait aujourd’hui qu’il s’agissait de l’intendant du Comte Walsegg, lequel, veuf et mélomane, entendait obtenir une messe des morts à la mémoire de son épouse. On sait également que la mort du musicien interrompit l’ouvrage commencé à l’automne 1791. Sa femme Constance confia d’abord la partition à Eybler qui ne put achever l’œuvre à son tour, puis à Süssmayer, l’élève auquel Mozart avait donné de nombreuses indications pour son Requiem. Des travaux récents ont tenté de démêler les contributions de Mozart et de son élève, afin d’établir une édition considérée comme la plus proche des intentions du musicien.

français

Crédits de représentation (Distribution et équipe de production )

Distribution

Équipage

Ensemble

Coproducteur