Name: Vfo Pappano Lim
Start: 2024-07-26T00:00:00.000Z
End: 2024-07-26T00:00:00.000Z
Location: Salle des Combins

Admin

Verbier Festival

Pianist

Yunchan Lim

Piano

Orchestra

Verbier Festival Orchestra

Conductor

Antonio Pappano

Vfo / Pappano / Lim

Bagnes

Switzerland

Salle des Combins

Vfo / Pappano / Lim: Piano Concerto No. 5 in E-flat Major, op. 73 ("Emperor Concerto") Beethoven (+1 More)

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Piano Concerto No. 5 in E-flat Major Op. 73

9th Symphony

Akshay C K

Approved

Premiered in 1811, Beethoven’s Piano Concerto No 5 ‘Emperor’ was his last, written during Napoleon’s bombardment of Vienna, and carrying that martial flavour in its key of E flat – the same as for his ‘Eroica’ Symphony No 3 – and in its piano writing’s virtuosic brilliance. It was also structurally bold, including the unprecedented scale of its opening Allegro, and the way its limpid slow movement tips seamlessly into its final Rondo. Written between 1891 and his 1886 death, Bruckner’s final Ninth Symphony – dedicated to ‘dear God’ – is cast in the same D minor key as Beethoven’s Ninth. Powerful climaxes and a lack of resolution characterise the first two movements; there’s even tension to the Scherzo second’s central trio of dancing strings and flute birdsong. Yet while the Adagio third (which has become the finale, the fourth movement being left uncompleted) opens painfully yearning, it moves to E major peace.

English

Créé en 1811, le Concerto pour piano N° 5 « L’empereur » de Beethoven fut son dernier. Il a écrit pendant le bombardement de Vienne par Napoléon, et porte une atmosphère martiale dans sa tonalité de mi bémol et son écriture pianistique virtuose. Il était également audacieux sur le plan structurel, notamment par l’ampleur sans précédent de son Allegro initial et par la transition fluide de son mouvement lent et limpide vers le Rondo final.
Écrite entre 1891 et sa mort en 1886, l’ultime Neuvième Symphonie de Bruckner, dédiée au « cher Dieu », est écrite dans la même tonalité de ré mineur que la Neuvième Symphonie de Beethoven.
Les deux premiers mouvements se caractérisent par des climax puissants et une absence de conclusion. Le trio central du deuxième scherzo, quant à lui, présente des cordes dansantes et des chants d’oiseaux à la flûte, empreints de tension. Le quatrième mouvement n’ayant pas été achevé, l’Adagio troisième est devenu le finale s’ouvrant sur une nostalgie douloureuse pour finalement aboutir à la paix en mi majeur.

français

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