La Rozenn d’Aurélie Ligerot est toute grâce et sensibilité, servie par un soprano clair et une bonne diction.
Le grand rôle féminin est néanmoins celui de Margarita, où Aurélie Ligerot trouve l’occasion de déployer une belle virtuosité et des aigus d’une assurance enviable, en particulier dans sa « Chanson italienne », tandis que le rôle de Mojana sollicitera davantage ses ressources expressives.
l’élégante Aurélie Ligerot (Bianca) au médium chaud et charnu
La Rozenn d’Aurélie Ligerot est toute grâce et sensibilité, servie par un soprano clair et une bonne diction.