Reviżjonijiet tal-Produzzjoni Passata
2Mehta peut s’offrir beaucoup de libertés expressives tant son chant est soutenu par une présence et une intelligence scénique de tous les instants. Son Che puro ciel est bien évidemment un régal, par la densité du mot et par la subtilité du mouvement : c'est peut-être aussi le seul numéro de l'opéra dont le tempo est, sinon dans la moyenne, peut-être un peu plus retenu : c'est qu'on en a les moyens. Il bénéficie du plus beau des accompagnements, dans cette aria qui, entre toutes n’est pas accompagnée mais dont la polyphonie miraculeuse ressortit à la symphonie.
Replacing the ailing Simon O'Neill at just a few days notice, Stuart Skelton was magnificent as Parsifal, wielding his powerful tenor with colour and nuance to show the progression of an innocent “fool” to enlightened redeemer. His best singing came in Act 2: when the seductress Kundry’s cajoling and pleading became almost unbearable, Skelton countered with a beautiful and thrilling outburst of high notes to assert his freedom. Parsifal’s final declaration of Amfortas’ redemption and his own assumption of the Grail Knights’ leadership was sung with tenderness and sympathy as Skelton modulated his voice with pianissimo.
