Past Production Reviews
16“Oliver Diaz al frente de la ORCAM presumió de colores y de gestión de balances, algo fundamental en la música de Sorozábal.”
“En el foso del Teatro de la Zarzuela se encontraba un músico de la talla de Óliver Díaz, que fue capaz de firmar una magnífica labor (…) En el acto segundo, impecable fue el acompañamiento a la sucesión de romanzas, así como la progresión dramática de toda la parte final”
“Con un instrumento atractivo, cumplidor, actor eficaz y excelente configuración del papel, en consonancia con una campesina, la futura reina, Sofía Esparza, bella soprano de Pamplona, atractiva presencia escénica y voz dotada. Esparza tiene aún toda una carrera por delante, a pesar de haber hace ya años iniciado estudios de arpa, canto y pedagogía y seguido clases con Alberto Zedda, Mariella Devia y recibido más de una docena de premios. Este año abrió con L´elisir d'amore la temporada del Comunale de Bologna y es la primera vez que actúa en esta histórica sala.”
Por su parte, la Rosa de Sofía Esparza... fue perfecta. Es que no creo que pudiera pedirle más. Una vis dramática irreprochable, detalladísima, muy trabajada, junto a un timbre luminoso, claro, de atractivo vibrato y desenvuelto agudo. Una voz que corre desenvuelta por toda la sala.
(…) le Don Alvaro du ténor franco-tunisien Amadi Lagha qui renouvelle le choc de son Calaf toulonnais il y a deux ans. En plus de posséder un timbre particulièrement flatteur, il offre un organe parmi les plus puissants que nous ayons jamais entendus, avec des aigus d’une incroyable insolence, sans obérer la ligne de chant, et il nous prouve dans son fameux air « La vita è inferno all’infelice » qu’il est aussi capable de nuances et de demi-teintes.
Amadi Lagha, qui incarne Don Alvaro, est un ténor à la voix claire et vaillante (spinto), sonore de part en part, pour ce rôle qui sollicite partout la plus grande étendue, de même que toute la gamme dynamique (du triple piano au triple forte) qu'il assure avec facilité. Le timbre solaire est pleinement Italien et se marie à une prononciation modèle du texte. Le rôle est incarné dans la richesse de ses situations expressives, et passions contrastées, assumées de la tendresse à l’expression torturée des passions contradictoires (culpabilité, amitié, compassion, amour propre blessé) dans les deux grandes scènes de duos (duels métaphoriques) avec Don Carlos. L'interprète investit beaucoup d’émotion dans l’unique très bel air (bien que méconnu), O tu che in seno agli angeli, ainsi que dans le remarquable trio final. Sa prestation est saluée par le meilleur accueil du public au salut final.
